Ulysse

Quand la vie
A raison de toi
Quand le système
Sur toi semble prendre
L ascendant
Lorsque la flopé
De descendant
Lève les mains
Et De leurs dix petits doigts
Chacun
Vois en toi
Ce monstre sacré
Qui a franchi
Les frontières
Qui a traversé les océans
Que peux tu leur répondre? Es tu celui qui doit venir ?
Ou doivent ils en attendre un autre ?
La nature t a doté suffisamment
Le vent t a instruit comment un parent
Le soleil envers toi s est montré clément
Et les dieux bienveillants
Pourquoi en douter
Lorsque le vent tombe
Et que ton bateau ne peut plus
Avancer
Que ces voiles
Jadis gonfler à bloc
Que tu as même eu peur
Que les cordages cassent.
Pourquoi as-tu percé sa clôture ?
Les passants y grappillent en chemin.
Celui qui nous envoie
Ici bas ne permettrait pas
Que nous soyons testé au-delà
De nos capacités
Il ne permettra pas que
Une de ces brebis
Soit perdu nous dit on.
Il est bon miséricordieux,
Plein d amour et de générosité
Et puis quoi encore…
Ce n’est pas faux
Il est tout ça à la fois
Si nous acceptons le bonheur comme un don,
Pourquoi ne serait il pas pareil pour le malheur ?
Tant de choses
Peuvent faire remonter
Des vieux démons
Des combats qu on croyait
Avoir gagné depuis belle lurette
Que de plaies qui se réouvrent
Quand bien même la cicatrise
Avait totalement disparu
Est-ce pour ça
Qu il ne faut pas
Se relever et repartir à l assaut ?
Le seigneur a donné
Le seigneur a repris, bénis soit son nom…
Il y a tellement
De monde merveilleux
A explorer
De rires à partager
De pleures à éponger
De montagnes à gravir
Avant de contempler
Ces belles vues…
Quel étrange service
Nous a rendu Antipater de Sidon
En comptabilisant à sept
Ce qu il y avait de merveilleux dans ce monde.
A-t-il songé u sourire d un nouveau-né
Aux cœurs qui vibrent aux même rythme
Comme les cordes d une guitare
Aux regards complices
De deux amis qui se foutent du monde
Au parfum des matins de printemps
Dans nos campagnes
A ces fleurs des champs
Que très peut remarque
A-t-il juste vu l éclosion d un œuf
J en doute
Il y a tant à voir et à revoir
Il y aurait tant à écrire
Que même la vie éternelle ne suffirait pas
Tout cela se résume dans ceci
« CARPE DIEM »
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